Rapport annuel de l’IGPN : la cheffe Brigitte Jullien assume son soutien aux policiers
L’IGPN présentait, le 20 juillet, son rapport annuel d’activité. Rituel censé démontrer la transparence de l’institution. Néanmoins, les chiffres sont têtus et révèlent à nouveau les limites de ce service d’enquête.
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Chaque année, l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) présente son rapport annuel à la presse. À l’image de ses enquêtes, la police des polices fait preuve d’une interprétation très souple de données, qu’elle a pris soin de sélectionner. Au cours de la conférence de presse du 20 juillet, la transparence et l’impartialité dont se targue l’IGPN sont rapidement devenues de simples habits d’apparat, dont les coutures semblaient craquer à chacune des interventions de la cheffe Brigitte Jullien.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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