Procès Clearstream: la haine Sarkozy-Villepin, encore et toujours...
Le premier jour du procès Clearstream, qui s'est ouvert lundi 21 septembre devant la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris, aura été à l'image des quatre années d'instruction de ce dossier: un hold-up. Malgré la pléthore de parties civiles, il n'aura été question que de deux personnes et de leur haine recuite: Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin. Le procès est-il vicié avant même d'avoir commencé? Instants d'audience.
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Les voilà tous les cinq debout, droits, un peu raides même. Ils sont côte à côte et ne s'échangent pas le moindre regard. Le plus à droite est un ancien stagiaire du cabinet d'audit Arthur-Andersen, Florian Bourges. Il dit gagner un peu plus de 1.000 euros par mois. Le plus à gauche est un ancien premier ministre, Dominique de Villepin. Il affirme percevoir «environ» 20.000 euros d'honoraires mensuels en tant qu'avocat, son nouveau métier.
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
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— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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