Il avait promis le « blast ». Il l’a en effet bien senti. Dimanche 20 novembre au soir, Nicolas Sarkozy a été balayé de la primaire de la droite et du centre. Sa défaite est sans appel : avec 20,8 % des suffrages exprimés, l’ex-chef de l’État s’est littéralement fait écraser par ses adversaires, à commencer par son ancien « collaborateur » François Fillon, qu’il a finalement décidé de soutenir après l’avoir longtemps rêvé « à terre et sans oxygène ».
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