Toulouse (Haute-Garonne), de notre correspondant.– « Je ne le lâcherai pas, il a le droit d’être soigné… » Angélique, la cinquantaine, réfugiée tchétchène naturalisée française en 2007, « ne supporte plus » la situation dans laquelle se trouve son fils, M., 26 ans, détenu depuis le mois de juin à la maison d’arrêt de Seysses, à côté de Toulouse. « Ça me détruit. »
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