«Un violeur à l’Intérieur, un complice à la Justice, un ami à la Mairie. » Jeudi 22 juillet, alors que le nouveau conseil de Paris se réunissait pour la première fois, un petit groupe de militantes féministes, soutenues par les élu·e·s écologistes, ont allongé le slogan créé après l’annonce du gouvernement. Elles dénonçaient la présence, parmi les adjoint·e·s d’Anne Hidalgo, de Christophe Girard, accusé de complicité avec l’écrivain Gabriel Matzneff, visé par une enquête pour viols sur mineurs.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous