Dans leur ordonnance de mise en accusation, les juges chargés de l’instruction des attentats de janvier 2015 constatent, dépités, que « les frères Kouachi n’ont laissé que peu de traces derrière eux, comme le montrent la téléphonie et les exploitations informatiques ; ils ont veillé à ne pas attirer l’attention des services spécialisés, limitant leurs fréquentations, s’en tenant à leur cercle familial et communiquant discrètement ».
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