La France rechigne à créer un véritable statut de repenti dans les affaires de corruption

Le scandale qui éclabousse le Parlement européen met en exergue le rôle du repenti Pier Antonio Panzeri, qui a passé un accord avec la justice belge. En France, plusieurs obstacles limitent le recours à ce statut pour faire avancer les enquêtes.

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En France, certains enquêteurs n’oseraient pas l’imaginer, même dans leurs rêves les plus fous. Voici quelques jours, le Parquet fédéral belge a passé un accord avec l’ancien eurodéputé italien Pier Antonio Panzeri, dans la retentissante affaire de corruption qui touche actuellement le Parlement européen. Panzeri a promis des révélations à la justice belge, en échange d’une « réduction de sa peine de prison, qui n’excédera pas un an », selon Laurent Kennes, son avocat.

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