C’est une affaire que le Front national préfère mettre sous le tapis. Depuis quelques jours, le parti frontiste balaye d’un revers de la main ce qu’il considère comme une « affaire privée » qui aurait débordé « sur la sphère publique », une « rupture » entre deux élus frontistes qui aurait mal tourné. D’après des documents recueillis par Mediapart, c’est pourtant bien une affaire de harcèlement et de violence qui oppose aujourd’hui une élue FN à l’un de ses collègues, dont elle fut longtemps une intime.
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