Le 20 mars, à Bouglon (Lot-et-Garonne), une femme de 81 ans a été tuée par son mari. « Premier féminicide du confinement. La crise sanitaire augmente le danger pour les femmes et les enfants victimes de violences », a réagi sur Twitter Caroline De Haas du collectif Nous Toutes qui demande un plan d’urgence pour protéger les femmes violentées pendant le confinement. « Il faut des mesures dédiées sur l’exemple de l’Espagne – comme un service de messagerie instantanée avec géolocalisation envoyée aux forces de l’ordre en cas d’alerte. »
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