De notre envoyée spéciale en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.– Franck Allisio ne veut pas en rajouter. Mais tout de même. « Beaucoup de gens nous disent que les attentats de Paris leur ont ouvert les yeux et qu’ils se poseront désormais moins de questions au moment de voter. » L’ancien président des “Jeunes actifs” de l'UMP, passé au Front national en septembre, avant d’être propulsé porte-parole de Marion Maréchal-Le Pen en Paca et troisième de liste dans les Bouches-du-Rhône, est sûr de son fait. Les quelques jours de campagne qui le séparent du scrutin des 6 et 13 décembre seront focalisés sur la seule thématique de la sécurité. Et cela ne peut bénéficier qu’à sa nouvelle famille politique.
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