«Positif faible» ou «fortement positif»: vers un affinage des tests PCR

Des personnes sont diagnostiquées positives (donc encouragées à s’isoler) avec des charges virales qui ne sont pas forcément contaminantes. Le ministère pourrait bientôt suivre l’avis de la Société française de microbiologie qui recommande de distinguer les « positifs faibles ».

Rouguyata Sall

26 novembre 2020 à 19h34

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Au début de la pandémie, certains se posaient la question du manque de sensibilité des tests Covid. Désormais, des voix s’élèvent, au contraire, parce qu’ils rendraient trop de résultats positifs. La technique de la RT-PCR, diagnostic de référence en France, détecterait-elle des bouts de virus « insignifiants » ? Des personnes seraient-elles poussées à s’isoler sans être contagieuses réellement ? Alors que de vraies questions se posent sur la stratégie de dépistage, de fausses affirmations circulent aussi, qui jouent avec des notions scientifiques complexes (« charge virale », « cycles d’amplification », etc.).

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