Comme d’habitude, mais en pire. À écouter les récits des chômeurs, récents ou anciens, la crise sanitaire ne fait que renforcer les fractures habituelles du marché de l’emploi. Elle raréfie en nombre les petits contrats précaires, qu’il est désormais d’usage d’accumuler, pousse dehors des seniors déjà sur la sellette, bloque l’entrée des jeunes, eux qui font traditionnellement partie des populations les plus vulnérables au chômage.
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