Pourra-t-on un jour juger Vladimir Poutine pour les crimes de guerre perpétrés par son armée en Ukraine ? Lundi, nous vous proposions quelques éléments de réponse à cette question sur notre plateau avec Jeanne Sulzer, avocate à Amnesty international, et la professeure de droit international Muriel Ubéda-Saillard. Et, parce que documenter les guerres est crucial, nos journalistes Youmni Kezzouf et Sébastien Bourdon étaient sur notre plateau pour raconter leur enquête sur ces crimes de guerre, par les armes à sous-munitions, notamment. Notre envoyé spécial en Ukraine François Bonnet se trouvait, lui, en duplex de Kyiv pour dépeindre la destruction du quartier de Podilskyi par les bombardements.
« La sécurité alimentaire n’est jamais possible dans les zones de guerre » : un constat sans appel qui s'applique à l’Ukraine comme à tous les autres pays en conflit. Constat brossé par Sébastien Abis, chercheur associé à l’institut IRIS, dans notre émission de mardi consacrée à la crise économique – dans laquelle s'inscrit la crise alimentaire - que provoque le conflit aux portes de l’Europe.
En France, l’extrême droite tue. Elle a tué à Paris, samedi 19 mars, froidement et par balle, l’ex-rugbyman Federico Martin Aramburu. Nous revenions mercredi avec notre journaliste Marine Turchi sur son enquête retraçant le parcours du tireur : Loïk Le Priol.
Débat aussi et décryptage, 60 ans après les accords d’Évian, sur la « guerre des mémoires ».
Enfin, jeudi, nous vous proposions une émission de débats et de décryptages sur le rôle des cabinets de conseil au sein de l’État Français.