Élus il y a un mois, les maires frontistes veulent faire oublier les échecs de gestion des villes gagnées par le Front national en 1995. L’objectif : crédibiliser le parti d’ici 2017 en se présentant en bons gestionnaires, désarmer leurs détracteurs en jouant l’apaisement. Depuis leur victoire, ils promettent de « travailler avec tout le monde », dans le « consensus » et répètent qu’il n’y aura « pas de chasse aux sorcières ». Nombre de leurs opposants, que Mediapart a contactés, y voient une stratégie d’installation mais notent déjà des sorties de route.
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