Après la mort de Nahel, la révolte et la répression des quartiers populaires Analyse

Après la mort de Nahel, le pouvoir pris au piège de son aveuglement

Les nuits de colère dans les quartiers populaires remettent la question des violences policières à l’agenda de l’exécutif. Faute de réponses viables, le gouvernement se contente pour l’instant d’afficher sa compassion et d’exhiber sa fermeté.

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L’exécutif a changé de pied. Deux jours après le décès du jeune Nahel à Nanterre (Hauts-de-Seine), le ministre de l’intérieur entend réprimer sévèrement la révolte qui s’exprime dans plusieurs villes du pays. « Nous avons procédé à un déploiement massif de forces de l’ordre pour ce soir et cette nuit », a indiqué Gérald Darmanin aux préfets jeudi après-midi, évoquant la mobilisation de quarante mille personnels, dont ceux des forces d’intervention spéciale comme le Raid, le GIGN et la BRI.

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Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

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