Jean-Claude Mailly raconte dans un livre l’invraisemblable histoire de la loi sur le travail
Le secrétaire général de Force ouvrière dévoile les coulisses de la loi sur le travail, côté syndicats, ainsi que sa confrontation avec l’exécutif socialiste. Jean-Claude Mailly déplore une « contre-réforme multiminoritaire » et un dialogue social fantoche.
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Jean-Claude Mailly a un sens aigu de la formule, ce dont les médias raffolent. Outre ces uppercuts, le secrétaire général du syndicat Force ouvrière se dévoile rarement, veillant jalousement sur sa vie privée et ses opinions politiques, malgré des amitiés à gauche comme à droite. Dans Les Apprentis sorciers, livre à paraître le 30 novembre, le syndicaliste lâche les chevaux et offre une charge sans précédent contre le pouvoir socialiste. Elle est d’autant plus violente que Jean-Claude Mailly est, à titre personnel, encarté au PS, sans y militer. Une adhésion autant idéologique que filiale, d’un homme « né dans le Pas-de-Calais dans une famille d’option socialiste, laïque, libre-penseur ».
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
Le second tour des législatives a confirmé la radicale nouveauté du paysage politique français depuis 2017. La majorité relative dont Emmanuel Macron doit se contenter génère cependant une situation pleine d’inconnues.
Trois jours après avoir perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale, le président de la République a tenté de minimiser son échec. Martelant que son programme devait être appliqué, il a enjoint à ses opposants de se prononcer sur leur volonté ou non de l’aider à le faire.
Fin avril, un policier a tiré à dix reprises au fusil d’assaut sur une voiture, faisant deux morts et un blessé grave sur le Pont-Neuf, à Paris. Les premiers éléments de l’enquête, auxquels Mediapart et Libération ont eu accès, mettent à mal la thèse de la légitime défense : les balles mortelles ont atteint les victimes par le côté et l’arrière.
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