« Pour l’heure, notre pouvoir est limité, on ne peut prendre que quelques mesures par décret, mais l’essentiel de notre politique, c’est au Parlement qu’elle va se passer. » Dans le TGV l’emmenant à Marseille, Jean-Marc Ayrault veut imprimer son rythme tranquille à la campagne législative. Pour son premier déplacement comme patron de la majorité présidentielle, le premier ministre a choisi un voyage éclair de trois heures à Marseille, pour soutenir l’une de ses ministres le plus en danger, Marie-Arlette Carlotti, opposée au député sortant UMP, Renaud Muselier. « La logique de mes déplacements, ce n’est pas d’aller là où c’est le plus facile », dit-il d’une voix calme.
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