Élysée et gouvernement

Gérald Darmanin, un ministre démissionnaire très bavard 

Sur les sabotages du réseau TGV comme sur l’interpellation de militants écologistes pourtant blanchis, le ministre de l’intérieur démissionnaire a communiqué sans précautions, quitte à être démenti par les faits.

Camille Polloni

Depuis la démission du gouvernement, mardi 16 juillet, la communication de Gérald Darmanin et de ses collègues se limite en théorie « aux sujets qui ne peuvent pas attendre », comme le prévoit une circulaire du secrétariat général du gouvernement, qui impose aux ministres sur le départ de « rester dans un registre purement objectif et informatif »

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