Une fois de plus, voilà les diplomates et les responsables européens réduits au jeu des devinettes, des supputations et des espoirs hasardeux. Et si Vladimir Poutine, de nouveau à la présidence de la Russie, décidait d’abandonner une politique de soutien acharné au régime criminel du Syrien Bachar al-Assad ? Et si une inflexion russe permettait d’entrevoir une issue à la révolution syrienne autre que celle d’un écrasement dans le sang ?
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