Bien que les manifestations à Alep aient débuté plus tardivement que dans le reste du pays, la réponse de l’appareil de sécurité d’Etat est similaire à ce qui a pu être constaté partout ailleurs : «un usage brutal et inconsidéré de la force, responsable de morts et de blessés parmi les manifestants», affirme Amnesty International dans un rapport diffusé mercredi (Lire le rapport All-out Repression). Ce document est publié alors que la bataille dans la seconde ville du pays fait rage depuis plusieurs jours.
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