La justice enquête sur l’exécution d’un Français en Libye
En mai 2011, Pierre Marziali, ancien militaire français, était tué à Benghazi. L’enquête judiciaire a permis de découvrir un mandat de Kadhafi pour sa société et un rapport évoquant le trafic de « 1 200 ogives chimiques » opéré par des djihadistes du CNT. Marziali aurait transmis ses informations à l’Élysée et à la DCRI.
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UnUn espion tué par accident. C’est la version officielle de la mort de Pierre Marziali, communiquée par le Conseil national de transition (CNT) libyen, en mai 2011. Le 11 mai 2011, l’ancien militaire français de 48 ans a été tué d’une balle dans le dos à Benghazi par des éléments d’une brigade rebelle, alors qu’il venait y installer sa société militaire privée, Secopex.