Lisbonne, quelques jours avant Noël 2014. Dans une salle du Parlement portugais, un homme musclé aux traits rugueux et aux tempes grisonnantes est passé sur le gril par une commission d’enquête parlementaire. Dans une déposition filmée, Alvaro Sobrinho doit répondre de sa responsabilité dans la faillite de la banque Banco Espirito Santo (BES), qui fut l’un des emblèmes du capitalisme portugais.
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