Selon le directeur de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information, le piratage de l'équipe de campagne d'Emmanuel Macron était d'une telle « simplicité » qu'il pourrait être le fait de « n'importe qui ». Il se dit incapable de confirmer ou d'infirmer la piste russe. À Moscou, deux médias indépendants publient de nouveaux éléments troublants qui complètent l'enquête récente de Mediapart.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
LaLa nouvelle a ravi les médias officiels russes : le 1er juin, dans une interview d’abord accordée à l'agence de presse américaine Associated Press, puis à Russia Today (RT), Guillaume Poupard, le directeur de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI), qui a enquêté sur le piratage de l'équipe de campagne d'Emmanuel Macron, a déclaré qu'aucune trace formelle de hackers russes n'avait été relevée dans les « Macron Leaks ».