En Allemagne, la règle d’or budgétaire au cœur des débats
L’Allemagne n’a cessé d’économiser au lieu d’investir. Même le patronat s’en inquiète. Les économistes s’interrogent désormais sur la nécessité de conserver une règle d’or budgétaire très restrictive. Mais le monde politique reste peu perméable à cette idée.
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Alors que l’économie allemande est clairement entrée dans une crise structurelle, le débat économique outre-Rhin commence à se reconfigurer. Et le centre de la réflexion, c’est le « frein à l’endettement » (Schuldenbremse), mécanisme plus connu en France sous le nom de règle d’or budgétaire, qui a été introduit en juillet 2009 dans la Loi fondamentale, la Constitution de la République fédérale, par le Bundestag et, au nom des Länder, par le Bundesrat. Aujourd’hui, plusieurs économistes demandent l’abandon de cette règle, qui entrera définitivement en vigueur en 2020 (pour les Länder), afin de permettre des investissements publics et une politique de relance dont le pays a un besoin impérieux et rapide.
De nombreux témoignages et des documents obtenus par Mediapart montrent ce qui est proposé par ce prestigieux établissement catholique. Une quinzaine d'anciens élèves racontent les « humiliations » et les « souffrances » vécues.
La mort d’un bébé survenue la semaine dernière à Lyon a provoqué la stupéfaction. Mais depuis de longs mois, les conditions d’accueil en crèche se dégradent. Et des professionnels, des experts ou représentants du secteur tirent la sonnette d’alarme. Témoignages.
L’ancien président de l’UEFA a reçu de luxueux cadeaux offerts par l’oligarque ukrainien Grigori Surkis, aujourd’hui mêlé à une affaire de « détournement de fonds » présumé en lien avec les fédérations ukrainienne et européenne de football.
Jeudi 16 juin, une élève venue passer une épreuve du bac français dans un lycée parisien dit avoir été « agressée » par une responsable éducative qui n’aurait pas apprécié qu’elle vienne voilée et lui a fait rater le début de l’épreuve. Des témoins confirment la violence de la scène.
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