Il y a les photos habituelles d’hommes à la tribune, documents brandis au-dessus des têtes, regards triomphants et soulagés, les qualificatifs dithyrambiques, « historique », « inédit », « nouveau départ », et les félicitations des dirigeants du monde entier. Ce 31 août à Juba, capitale du Soudan du Sud, sont paraphés plusieurs documents censés mettre fin à des conflits dont les causes se perdent dans l’histoire du pays.
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