Que veut obtenir Olaf Scholz vendredi à Pékin, face à un hôte toujours plus autocratique, nationaliste et intraitable sur la question taïwanaise ? Alors qu’un débat fait rage sur la dépendance de l’économie allemande à la Chine, il court le risque d’être cantonné dans un rôle de représentant de commerce.
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BerlinBerlin (Allemagne). – La pression qui pèse sur le voyage en Chine du chancelier allemand Olaf Scholz, premier dirigeant d’un pays du G7 et de l’Union européenne à se rendre à Pékin depuis la pandémie du Covid, ne cesse de monter. Entouré d’une délégation de grands patrons, notamment ceux de Volkswagen et de BASF, le dirigeant allemand s’envolera vers Pékin jeudi après-midi et rencontrera Xi Jinping vendredi matin.
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