Jamais une personnalité de la République islamique d’Iran n’a joué, composé, écrit à ce point avec la partition de l’ombre et celle de la lumière. Il utilisait l’une et l’autre comme – on n’échappe pas à ce cliché – un chef d’orchestre.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous