David Beckham s’est longtemps refusé à alimenter le fonds humanitaire dont il est censé être le premier et principal contributeur. Il a même tenté de se faire rembourser par l’Unicef des frais qu’il n’avait pas engagés. Pour la star britannique, la cause humanitaire est avant tout un tremplin pour ses affaires personnelles. Les Football Leaks révèlent le visage méconnu d’une star qui rêve d’être anoblie, mais à qui on refuse le titre en raison de ses démêlés fiscaux.
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En février 2015, pour fêter les dix ans de son partenariat avec son ambassadeur David Beckham, le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) lance le projet Fonds 7 – du numéro de maillot de l’ancien footballeur. La star britannique a ainsi un fonds à son nom, dont il est censé être le premier et principal contributeur puisque l’idée est qu’il incite tout un chacun, à son image, à donner à hauteur de ses possibilités « pour protéger des millions d’enfants ». Il précise : « Le moment est venu pour moi de faire tout ce que je peux pour aider les enfants dans tous les coins du monde. »
L’ancien patron des députés LR, Damien Abad, a été nommé ministre des solidarités en dépit d'un signalement pour des faits présumés de viols adressé à LREM et LR par l’Observatoire des violences sexistes et sexuelles en politique. Deux femmes, dont Mediapart a recueilli les témoignages, l’accusent de viol, en 2010 et 2011. Il conteste les faits.
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
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