«Je remercie le président Uribe.» Sur le tarmac, Ingrid Betancourt, libérée mercredi 2 juillet, n'y est pas allé par quatre chemins: c'est un succès pour le président colombien et sa stratégie de fermeté contre la guérilla marxiste. Celui-là même qu'elle combattait vigoureusement lors de la campagne électorale de 2002, lorsqu'elle a été enlevée, l'a sauvé: «Je voudrais que les Colombiens et que les otages sachent que nous pouvons avoir confiance en notre armée.»
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