Quand le machiste Boris Johnson tombe sur un hic féminin

Le premier ministre britannique électrise son électorat avec ses dérapages verbaux. Mais cette violence oratoire se heurte à des résistances féminines, aptes à clouer le bec d’un phallocrate qui cloue au pilori.

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L’accent tonique de la langue anglaise prend chez lui des proportions extravagantes. Lorsqu'il ouvre la bouche, son excitation labiale se donne libre cours : Boris Johnson s’enivre de sa propre parole. Il semble même croire aux vertus performatives de son discours, tel Chantecler, le coq de la pièce d’Edmond Rostand, persuadé que son chant fait se lever le soleil. C’est en haranguant qu’on forge le Brexit. Mais de quelle éloquence publique le premier ministre britannique (ab)use-t-il ?

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