Europe

Face aux crimes israéliens, des fonctionnaires européens se mobilisent

Alors que les Vingt-Sept s’enlisent dans leurs divisions au sujet de sanctions contre l’État hébreu, des membres de l’administration bruxelloise sortent du bois pour exprimer leur solidarité avec les Palestiniens. Mais les pressions au silence ou à la discrétion restent fortes.

Cédric Vallet

Bruxelles (Belgique).– Malgré la pluie, une petite foule, probablement 160 personnes, est réunie devant le siège de la Commission européenne, à Bruxelles. Certaines tapent bruyamment sur des casseroles ou brandissent des pancartes en soutien à la flottille de la liberté ou réclamant « l’arrêt de l’occupation israélienne ». D’autres arborent des affiches portant des dates et des noms de lieux gazaouis, frappés par l’armée israélienne, et où des civil·es ont péri. Quelques participant·es portent un tee-shirt aux motifs de pastèque avec l’inscription « Say no to genocide » (« Dites non au génocide »).

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