Alors que le Traité commercial transatlantique (Tafta) mobilise l’attention d’une partie des Européens, la Commission européenne n’a toujours pas renoncé à imposer aux États africains un accord de libre-échange encore plus dévastateur. Comme elle l’a déjà fait à plusieurs reprises, elle a même fixé un ultimatum, le 1er octobre 2016, pour les pousser à signer ces « accords de partenariat économique » (APE), discutés depuis 2002.
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