Europe Entretien

« Viktor Orbán risque de se voir en parrain plutôt qu’en paria de l’Europe »

L’historien Paul Gradvohl analyse les causes et les conséquences de la victoire électorale de Viktor Orbán en Hongrie, dimanche. L’homme fort de Budapest, adepte d’une synthèse poutino-trumpienne, souhaite que l’UE se dissolve dans un illibéralisme corrosif.

Antoine Perraud

Au lendemain de la victoire électorale de Viktor Orbán, élu dimanche 3 avril pour un cinquième mandat – dont quatre consécutifs – dans une Hongrie désormais à sa main et où la démocratie s’avère résiduelle, nous avons demandé à Paul Gradvohl, professeur d’histoire de l’Europe centrale contemporaine à Paris I (Panthéon-Sorbonne), d’éclairer nos lanternes occidentales.

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