Le coup d’État au Niger Parti pris

Au Niger, le pari risqué de la Cedeao

Après le coup d’État militaire intervenu au Niger le 26 juillet, la Communauté des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a menacé d’intervenir, y compris par la force, afin de restaurer la « démocratie ». Soutenus par une partie de la population, ceux qui ont pris le pouvoir à Niamey risqueraient de se radicaliser si une telle opération avait lieu.

Aoife McCullough et Aziz Garba (Afrique XXI)

5 août 2023 à 09h35

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Fin août 2022, quelques centaines de militants avaient manifesté devant l’Assemblée nationale à Niamey, la capitale du Niger. Leur objectif était de dénoncer les interventions militaires étrangères dans le pays et d’exprimer leur colère face à la hausse du coût de la vie. Des drapeaux russes avaient été accrochés sur un monument, et les observateurs internationaux s’en étaient inquiétés, craignant que la Russie soutienne des groupes de protestation dans le but de déstabiliser le dernier allié de l’Occident – avec le Tchad – dans la lutte contre le terrorisme au Sahel.

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