Alors qu'un mouvement social inédit bouleverse le pays, les clichés sur le Brésil ont la vie dure. Des mégalopoles tentaculaires de près de 20 millions d'habitants aux images vues et revues des favelas, chacun a sa vision de l'urbanisme du pays. Pourtant, à l'aube de l'organisation de la Coupe du monde de football, en 2014, puis des Jeux olympiques de Rio de Janeiro, en 2016, les villes se retrouvent face à leurs contradictions, mais aussi à leur potentiel.
AlorsAlors qu'un mouvement social inédit bouleverse le pays, les clichés sur le Brésil ont la vie dure. Des mégalopoles tentaculaires de près de 20 millions d'habitants aux images vues et revues des favelas, chacun a sa vision de l'urbanisme du pays. Pourtant, à l'aube de l'organisation de la Coupe du monde de football, en 2014, puis des Jeux olympiques de Rio de Janeiro, en 2016, les villes se retrouvent face à leurs contradictions, mais aussi à leur potentiel. Manque d'infrastructures, notamment de transports, urbanisme à deux vitesses, immenses chantiers et réflexions plus sociales sont en jeu. Des grandes orientations prises par les autorités du pays (municipalités ou états) aux initiatives privées ou associatives, les projets prolifèrent.