Le Brexit revient à notre bon souvenir

À la veille d’une nouvelle session de négociation entre Londres et Bruxelles, Boris Johnson fait monter la pression. Il envisage l’échec d’un accord, ce qui le délierait alors de ses obligations envers ses anciens partenaires. Ceux-ci s’en formalisent.

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La fièvre brexiteuse monte : 38. Il ne reste que trente-huit jours pour trouver un accord, a déclaré dans un communiqué, lundi 7 septembre, Boris Johnson, en s’adressant à la fois aux décideurs de l’Union européenne (UE) et à son opinion publique. La date du prochain sommet européen, les 15 et 16 octobre 2020, devient, aux yeux du 10 Downing Street, une mise en demeure pour trouver le moyen de quitter, en bonne entente, la maison commune le 31 décembre – qui doit marquer la fin de la période de transition durant laquelle les règles européennes auront continué de s’appliquer sur le sol britannique.

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