La gauche israélienne se cherche à droite... et ne se trouve pas

En dépit des ennuis judiciaires de Netanyahou, la gauche israélienne est donnée largement perdante aux prochaines élections législatives. En cause, une stratégie contestée de recentrage idéologique et une profonde déconnexion d’avec les classes populaires.

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Jérusalem, de notre correspondante.-  On aurait pu penser que les affaires de corruption frappant Benjamin Netanyahou ouvriraient un boulevard à la gauche israélienne pour les prochaines élections législatives – prévues dans plus d’un an, elles pourraient, comme souvent, être anticipées. Mais rien n’est moins sûr. Selon un récent sondage commandé par le journal Maariv, l’Union sioniste (fruit d’une alliance entre le parti travailliste et le parti centriste de l’ancienne ministre des affaires étrangères Tzipi Livni) pourrait tomber à 10 sièges, contre 24 actuellement. Le parti de gauche Meretz se hisserait, lui, péniblement à 6 sièges, contre 5 aujourd’hui.

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