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Guillaume Ancel «retourne» à Sarajevo

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Dans son ouvrage Vent glacial sur Sarajevo, l'ancien officier d'artillerie revient sur le siège de la ville lors de la guerre de Yougoslavie, en 1995. Il y témoigne de l'impuissance organisée et délétère de l'armée française et de l'ONU, qui a contribué à prolonger le conflit en sacrifiant des civils assiégés, mais aussi des soldats français.

Thomas Cantaloube

L'ancien officier d’artillerie Guillaume Ancel semble s’être donné pour mission de revisiter quelques pages, disons « problématiques », de l’armée française de ces dernières décennies. En 2014, il avait donné sa version de l’opération Turquoise, au Rwanda, à laquelle il avait participé en 1994 en tant que capitaine. Depuis le terrain, il avait vu autre chose qu’une opération humanitaire : il avait eu le sentiment de participer à une opération destinée à sauver le régime génocidaire de Kigali en passe d’être déchu (on peut lire son témoignage dans différents billets postés sur son blog de Mediapart, intitulé assez justement : Ne pas subir).

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