La force conjointe regroupant Mali, Burkina Faso, Niger, Tchad et Mauritanie est attendue pour le mois d'octobre. Cinq ans après le déclenchement des opérations Serval, puis Barkhane, par la France, impuissance militaire et inertie politique se conjuguent.
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Dakar (Sénégal), de notre correspondant. – Annoncé pour octobre par le président malien Ibrahim Boubacar Keïta, le début des opérations de la force conjointe aux pays du G5 Sahel (Mali, Mauritanie, Burkina Faso, Tchad, Niger) va faire entrer en scène un nouvel acteur militaire d’envergure – jusqu'à 5 000 éléments – dans une région où une vingtaine d’armées et de milices combattent déjà en autant de nuances de rébellions, d’autodéfense, de djihadisme et d’intérêts personnels. « La force G5 Sahel pourrait commencer ses opérations fin octobre, elle progresse. Mais il y a un important travail d'organisation, de planification à accomplir », estime une source militaire française interrogée par Reuters.
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par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
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