C’était prévisible : Alexandre Loukachenko a choisi la manière forte pour garder son siège. Mais de nombreux Biélorusses semblent ne plus vouloir se laisser faire et ont laissé parler leur colère, dimanche soir. Comment pouvait-il en être autrement, alors que de nombreux éléments matériels ou témoignages – notamment de chefs de bureaux de vote qui ont osé donner leurs vrais résultats – attestent de l’absurdité du score officiel en faveur du leader biélorusse ?
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous