Centrafrique, les dangers de l’intervention française

La Centrafrique théâtre d’un nettoyage ethnique

Inexorablement, la Centrafrique se vide de ses populations musulmanes, chassées par les milices « anti-balakas », sous les yeux des forces françaises et étrangères qui ne sont pas assez nombreuses pour empêcher cet exode.

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Depuis le début de la semaine, qui marque également les deux mois depuis le déploiement des forces de l’opération Sangaris en Centrafrique, son commandant français, le général Francisco Soriano, puis son supérieur, le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian, ont tous les deux haussé la voix contre les « anti-balakas », ces milices populaires qui s’en prennent aux civils musulmans. Mais cette réaction est bien tardive et elle intervient alors que la République centrafricaine est désormais quasiment vidée de ses populations musulmanes, qui ont eu à subir ce qu’Amnesty International qualifie de « nettoyage ethnique », et que nous qualifiions déjà nous-mêmes, le 23 janvier dernier, de « purification ethnico-religieuse ».

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Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

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