Lorsqu’Edward Snowden a quitté Hong Kong, le 23 juin, avec un sauf conduit équatorien en guise de passeport et une compagne de voyage militante de Wikileaks, sa destination finale semblait évidente : Quito. Après avoir accueilli Julian Assange dans son ambassade britannique, le remuant Rafael Correa allait faire un nouveau pied de nez aux États-Unis en offrant l’asile au jeune informaticien qui venait de révéler l’ampleur du système de surveillance américain.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous