Le président américain a l'épiderme sensible : il déteste que l'on se moque de lui. Résultat : les comiques américains s'en donnent à cœur joie à la télévision. Les vétérans de « Saturday Night Live » enregistrent même un bond important de leur audience.
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New York (États-Unis), de notre correspondant.– Aux dernières nouvelles, il est cuit, brûlé, bon pour la casse et promis sous peu, disent les rumeurs, aux remerciements expéditifs de son employeur. Sean Spicer, porte-parole de la Maison Blanche, a commis l’erreur d’initier sa carrière par une attaque enragée contre les journalistes chargés de suivre la présidence, au lendemain de l’investiture de Donald Trump, en les accusant d’avoir omis de mentionner le 20 janvier « la foule la plus importante jamais vue lors de cette cérémonie ». Mais ce n’est pas ce que le patron lui reproche.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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