New York (États-Unis), de notre correspondant.– Le calvaire de Rex Tillerson a pris fin. Cela faisait des mois que l’ancien patron du groupe pétrolier ExxonMobil jouait le secrétaire d’État plus ou moins fantôme, sur le papier diplomate en chef du 45e président des États-Unis, en réalité visage international affaibli d'une administration sans queue ni tête.
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