Un soir, une semaine après le coup d’État qui a brisé net le processus de démocratisation de la vie politique birmane après dix ans de relative libéralisation, M. lance un appel dans le groupe de discussion de son ancienne promotion : « Professeurs, je veux vous demander quelque chose parce que je suis assis, je pense et je ne peux pas dormir. Je suis impliqué dans le mouvement de renversement de la dictature. Cela viole-t-il l’exigence éthique de ne pas prendre parti en tant que journaliste ? »
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