La grande fébrilité du Parlement européen face aux soupçons de corruption du Qatar et du Maroc

L’enquête qui éclabousse le Parlement européen porte désormais sur des soupçons d’ingérence du Qatar mais aussi du Maroc. Au parlement de Strasbourg, où le malaise est vif au sein du groupe des sociaux-démocrates depuis lundi, les appels à la création d’une agence de contrôle des conflits d’intérêts se multiplient.

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Strasbourg (Bas-Rhin).– Depuis l’ouverture de la session plénière lundi soir à Strasbourg, les eurodéputé·es de tous bords mettent en scène leur « consternation », leur « tristesse » et leur « colère » sur tous les tons. « La démocratie européenne est attaquée », a jugé la présidente Roberta Metsola.

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