Alors que la guerre au Yémen ressemblait de plus en plus à un fardeau à porter pour l’Arabie saoudite – un conflit enlisé depuis cinq années, sans perspective de victoire –, les attaques menées samedi 14 septembre contre les installations pétrolières saoudiennes et revendiquées par les rebelles houthis pourraient bien relancer la violence, à moins qu’elles n’enveniment encore plus les relations entre Riyad et Téhéran, au risque d’une confrontation régionale.
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