Correspondance du Caire (Égypte). - « À ce prix-là, on ferait mieux de rester à la maison et ne plus travailler ! », peste Mahmoud, un jeune vendeur d’électroménager, en quittant une station-essence du centre-ville du Caire. « La crise est là depuis plusieurs années, mais ils ont attendu le dernier moment pour que tout nous tombe dessus d’un seul coup », s’étonne ce jeune père de famille. « Qu’est-ce que nous sommes donc supposés faire désormais ? »
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