International Note de veille

Les grands absents du nouveau gouvernement

Les partis interdits sous Ben Ali, notamment l'organisation de Moncef Marzouki, les communistes du PCOT et les islamistes d'Ennahdha, ne font pas partie de la nouvelle équipe annoncée lundi à Tunis.

Lénaïg Bredoux

L'union nationale a des limites: le nouveau gouvernement tunisien annoncé lundi par le premier ministre Mohammed Ghannouchi intègre trois chefs de l'opposition au dictateur déchu, dont la figure historique du PDP (Parti démocrate progressiste) Ahmed Néjib Chebbi, ainsi que des représentants des la société civile, comme le blogueur Slim Amamou mais il exclut toutes les formations interdites sous Ben Ali, qui dénoncent une «mascarade».

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter