Le magnat de l'immobilier, favori des sondages dans le camp républicain, a aussitôt répliqué dans un communiqué : « Si le Vatican était attaqué par l'Etat islamique (...), je peux vous assurer que le pape ne pourrait que souhaiter et prier pour que Donald Trump soit président », a-t-il dit en faisant allusion aux menaces du groupe djihadiste contre Rome.
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